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Revue de Presse – Francis Pornon dans les médias

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Écrits de Francis dans la presse

En souvenir des débuts d’Aragon (un des écrivains majeurs du XXe siècle) qui fit les chiens écrasés dans la presse, Francis commença par des notules, coups de cœur ou de colère dans divers organes, pas si divers que ça d’ailleurs (Politis, Témoignage Chrétien, L’Humanité et L’Humanité-Dimanche). Il réalisa plusieurs dossiers dans Révolution puis dans Regards (national) et participa bénévolement à l’aventure de Regards sur le Puy de Dôme, hebdomadaire communiste qui vécut quelques mois à Clermont-Ferrand.
Ensuite de quoi il fut l’auteur de dossiers et reportages dans L’Humanité et L’Humanité-Dimanche, dont certains furent remarqués. En 1998, France-Inter signala la parution sur deux jours dans L’Humanité de son grand reportage en Algérie alors que le sujet restait encore tabou en France. En 2012 il publia plusieurs autres articles dans L’Humanité et L’Humanité-Dimanche, dont un tour du Nord algérien accompli avec Jean-Michel Monerris, amis photographe d’origine algéroise, ce à l’occasion du cinquantenaire de l’indépendance… et du départ de nombreux Pieds-noirs ainsi que de l’aventure de Pieds-rouges et autres coopérants.
Depuis Toulouse où il s’est retiré, parallèlement à sa publication de romans historiques sur le temps des troubadours (voir la page Publications), il continua à alimenter épisodiquement L’Humanité d’articles bénévoles rappelant que la « province » n’est pas le désert, que le passé sudiste fait de grandes pages d’histoire de France et qu’un présent d’une identité culturelle occitane compte aussi. Un recueil d’articles parus dans L’Humanité était édité (Temps des cerises 2006), préfacé par le journaliste Charles Silvestre : Cap au Sud. Parmi ses « papiers » avant que la pandémie et le confinement ne dressent des barrières entre la capitale et ses « territoires », une chronique dans L’Humanité-Dimanche sur le prix Nobel à Bob Dylan et deux dans L’Humanité sur La Bataille de Muret et sur le conquérant croisé Simon de Montfort tué par des toulousaines.
Le phénomène de centralisation et de mondialisation l’éloignant paradoxalement de Paris, Francis a tendance à se consacrer préférentiellement à l’écriture de ses livres, notamment des romans, sans oublier la poésie, honneur de la littérature.

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« Comment est-il possible, par exemple, de se comporter comme si rien au monde n’avait d’importance que la littérature, alors que de l’autre, il est impossible de ne pas voir alentour que les gens luttent contre la faim… ».
Jean-Marie Gustave Le Clézio – (discours de réception du Prix Nobel).